La course

Anonyme

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Et si ce ralentissement forcé était l’occasion d’un arrêt sur soi, un détour vers soi, un arrêt au stand, où la course fait « pause » !

Calé dans mon casque et mon habitacle, je me laisse prendre en main.

Mes mécanos passent la machine au crible, ils s’affairent, font le check up, parent aux défaillances, reboulonnent, rafistolent, reboostent les pneus et font le plein d’énergie pour un meilleur confort et tenue de route.

Je rouvre les yeux. Plus de stress.

Le temps est figé, la course est suspendue.

Je n’ai plus de casque, je suis libre de mes mouvements, je profite de la liberté d’une décapotable, je navigue dans un autre espace, un autre décor, seul sur un chemin de campagne.

Je sens l’air et le soleil sur ma peau, j’admire les champs colorés, et me laisse entraîner dans cette douce flânerie inédite.

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