L'impact de la séparation sur les enfants
Sarah Balaes
L’effet placebo se retrouve dans la prise en charge de multiples pathologies. Le traitements concernant entre autres l’ulcère de l’estomac, l’asthme, des maladies auto-immunes, le traitement de la douleur sont sensibles à l’effet placebo. Si on se penche plus particulièrement sur la dépression et l’anxiété, les résultats sont bouleversants.
Dans l’amélioration d’une dépression qui suit l’administration d’un anitidépresseur , intervient pour 25%,le principe actif lui-même, pour 25% l’évolution naturelle de la maladie, et pour 50% ( !),l’effet placebo. De même des études sur l’anxiété, montrent qu’un anxiolytique est beaucoup plus efficace si on le donne de manière visible, et l’est beaucoup moins s’il est donné à l’insu du patient. Toutes ces études nous montrent aussi à quel point le comportement du médecin est important ;une attitude bienveillante, compréhensive et empathique permettront une meilleure efficacité d’un traitement. Elles ouvrent également des perspectives sur des traitements avec des effets secondaires moins importants.
Que ce soit au travers d’une blouse blanche avec stéthoscope, ou d’une approche plus ‘naturelle’, l’effet placebo est omniprésent à des degrés divers. Finalement au travers de la relation privilégiée médecin-patient, l’effet placebo nous renvoie à deux notions : l’Art de guérir et ‘primum non nocere’
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Sarah Balaes
Pierre Duray
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